J’aime l’idée d’être portée chaque jour par un élan qui me met en joie, illumine mes journées, et nourrit mon énergie.

 

C’est de cette façon que j’ai avancé durant 20 ans dans une première carrière de danseuse, chorégraphe et professeur de danse (Diplômée d’État) dans laquelle j’ai ressenti beaucoup de bonheur à partager ma passion avec mes élèves.

J’ai développé tout au long de ces années, une capacité d’observation, d’adaptation aux rythmes et aux capacités de chaque élève, une attention particulière à leur évolution afin d’affiner mon enseignement.

Accompagner les danseurs dans la perception de leur schéma corporel, le contrôle, la maîtrise, la patience, la détermination que requiert la danse…

Mais aussi de leur cœur, leurs émotions, accueillir leurs doutes, leurs peurs parfois, en faire une force au service de ce qu’ils ont à dire sur scène, pour livrer la plus juste interprétation…

 

Cette expérience a enrichi mes qualités d’écoute, de patience, d’adaptabilité et de bienveillance.

 

Mais le corps a ses limites et certaines blessures mettront un terme à cette étape de ma vie pour en ouvrir une autre.

 

Je vais explorer pendant plusieurs années les méthodes plus douces, comme le pilates et le yoga. Puis plus intensément plusieurs types de yogas (vinyasa, hatha et yin) qui vont énormément me nourrir et progressivement développer mon intérêt pour le bien être.

Les rencontres se multiplient, les échanges avec certains professeurs vont me guider sur le chemin de la méditation puis du développement personnel.

 

C’est à ce moment que, naturellement, la sophrologie entre dans ma vie.

Cette méthode que j’explore m’enthousiasme rapidement. Ses influences telles que l’hypnose (modification de l’état de conscience), la relaxation progressive (relaxation mentale par la détente musculaire), ainsi que ses diverses inspirations comme celles du yoga (respiration et mouvement), du zen japonais (postures facilitant la concentration et l’accès à la conscience), du bouddhisme tibétain (impact de la répétition de suggestions positives sur la conscience), font écho en moi. Je vais immédiatement satisfaire mon besoin d’en comprendre les rouages.

 

Je me forme donc auprès de l’IFS, école de référence qui fut la première en France à délivrer la certification professionnelle inscrite au RNCP.  Et j’obtiens mon titre de sophrologue, Titre RNCP au niveau de qualification reconnu par l’état (niveau III en France, V en Europe).

 

Aujourd’hui, j’accompagne les personnes sur le chemin du bien-être.

La sophrologie me permet à nouveau de partager et de transmettre,

une méthode au service de l’humain

Et cela me remplit de joie.

 

 Claire Oginski